Là-haut, vers les sommets, une flore digne du Grand-Nord a trouvé refuge dans les endroits les plus exposés et froids de nos Préalpes. Des plantes spécialisées, vestiges des temps glaciaires, à la fois rustiques et très sensibles. Si le réchauffement climatique sonne comme une menace, les impacts les plus visibles aujourd’hui dans le canton de Fribourg viennent avant tout du pâturage excessif de certaines surfaces, notamment par les moutons.

Découvrez l’article de Yann Fragnière (collaborateur scientifique du Jardin botanique de l’Université) et Jérôme Gremaud (biologiste indépendant), paru dans la dernière édition des Cahiers du Musée gruérien. 

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