Le constat reste sans appel: à potentiel identique, les élèves issu·e·s de milieux défavorisés ou de familles ayant un parcours migratoire tendent toujours à avoir de moins bon résultats scolaires. Sur le papier, miser sur l’élaboration d’une collaboration plus étroite entre école et famille semblait la piste à suivre, mais, dans les faits, cette nouvelle relation peine à se concrétiser. Quels sont les obstacles? Où se nichent les incompréhensions? Comment dépasser l’ethnocentrisme scolaire pour nouer un dialogue fécond qui prenne réellement en compte les besoins spécifiques de chacun·e et crée ainsi un milieu plus inclusif tant pour les enfants que pour les familles?