Selon la Professeure Feddersen, on peut bel et bien noter un accroissement de la polarisation politique et affective. Comment elle se mesure? «Principalement par des sondages. Par exemple, les gens expriment des sentiments de moins en moins positifs envers des personnes aux opinions opposées aux leurs.»
 La tendance grandissante des partis à mettre l’accent sur les fautes des autres dans leurs campagnes politiques, plutôt que sur leurs mérites, est l’une des raisons de ce clivage. Elle a des incidences négatives sur les électeurs, qui s’identifient à leurs candidats: «Ils essaient en quelque sorte de défendre leur camp et développent un sentiment négatif envers les personnes qui ont attaqué leur candidat ou leur parti»Interview online du 27 janvier et Fichier PDF    
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