Le numérique tient un rôle de plus en plus important dans la société et aussi à l’Université. Pour profiter de ses opportunités et faire face à ces défis, le Rectorat a adopté une stratégie et des recommandations pour l’enseignement.

La transformation numérique est un enjeu majeur de notre société et elle affecte profondément le monde universitaire. Le Rectorat est convaincu que l’Université doit profiter des opportunités amenées tout en restant critique par rapport à ses enjeux et aux défis entraînés. Pour cela, il a adopté une stratégie digitalisation ainsi que des recommandations sur l’utilisation du numérique dans l’enseignement. 

Une stratégie aux multiples aspects
La stratégie digitalisation de l’Université reprend et développe les réflexions qui figurent dans la Stratégie 2030. Elle décrit la vision institutionnelle liée à la digitalisation et présente une série d’orientations stratégiques ainsi que les objectifs et mesures qui s’y rapportent. La digitalisation y est évoquée de manière large, autant dans ses liens avec l’enseignement, la recherche, l’administration qu’avec la gouvernance de l’Université. Son impact est abordé autant sur le fond (digitalisation comme objet d’étude, de recherche et d’une gouvernance spécifique) que sur la forme (dispositifs d’enseignement et de recherche, outils et processus administratifs).

Des recommandations pour l’enseignement et d’autres documents spécifiques
D’autres documents détaillent la politique ou les recommandations de l’Université dans des domaines spécifiques. On peut citer la politique open access, la politique de gestion des données de la recherche et surtout les recommandations sur l’utilisation du numérique dans l’enseignement.

Ces dernières ont été élaborées parallèlement à la stratégie digitalisation au sein de la Commission Enseignement de l’Université. Elles rappellent notamment que l’Université de Fribourg est une université présentielle et que le recours à la digitalisation dans l’enseignement se fait en particulier lorsque cela fait sens au niveau pédagogique ou que cela soutient la politique linguistique, l’égalité des chances, la mobilité et la flexibilisation des études.