Quelques échos de la presse du 1er au 17 décembre 2015
«Den Schulen kommt die Verantwortung zu, Mädchen für mathematisch und technisch orientierte Fächer zu motivieren.»
— Volker Grossmann, Lehrstuhlinhaber des Lehrstuhls für Makroökonomie, internationale Industrie- und Wachstumspolitik, zum Fachkräftemangel, Handelszeitung, 17.12.2015
«Nous sommes tous appelés à un sursaut d’humanité, à une résistance spirituelle et à une solidarité planétaire.»
— François-Xavier Amherdt, professeur au Département de théologie pratique, L’Illustré, 16.12.2015
«Eine Behandlung mit Medikamenten ist nie harmlos. Eltern und Ärzte tun gut daran, auch das Kind in diese Entscheidung miteinzubeziehen.»
— Sandra Hotz, Juristin und Co-Leiterin des Projekts «Kinder fördern. Eine interdisziplinäre Studie» am Institut für Familienforschung und -beratung der Universität Freiburg, Fritz und Fränzi, 11.12.2015
«Restreindre son accès à l’école à une étudiante parce qu’elle porte un signe religieux est une entrave à son éducation et peut, à long terme, être une entrave à son intégration. Le droit à l’éducation ici doit vraiment primer, parce que si on suspecte la socialisation familiale de forcer les jeunes filles à faire des choses qu’elles ne veulent pas, c’est bien par l’éducation qu’elles pourront avoir accès à leurs droits.»
— Mallory Schneuwly-Purdie, chercheuse senior au Centre Suisse Islam et Société, Journal du matin, RTS La Première, 11.12.2015
«Il est évident que la vision de l’artiste comme quelqu’un de passionné et déconnecté du monde mène souvent à l’idée qu’il n’a pas besoin d’être payé pour ses créations, estime Delphine Vincent. Cela explique en partie les conditions de vie souvent précaires des artistes, lorsqu’ils ne sont pas des superstars. Ces clichés mènent également à une stigmatisation, problématique, par rapport au corps social.»
— Delphine Vincent, maître d’enseignement et de recherche en musicologie, La Liberté, 11.12.2015
«Eine öffentlich-rechtliche Anerkennung durch die Kantone kann mehr Transparenz in den muslimischen Vereinen schaffen.»
— Hansjörg Schmid, Leiter Zentrum für Islam und Gesellschaft, Neue Luzerner Zeitung, 10.12.2015
«En France le FN s’appuie sur les problèmes actuels, alors qu’en Suisse l’UDC projette un discours de peur sur ce qui pourrait arriver.»
— Damir Skenderovic, professeur d’histoire contemporaine, Le Temps, 09.12.2015
«Bei Anwälten ist die Regelung sachlich gerechtfertigt, weil sich das Recht von Land zu Land unterscheidet. Die Medizin unterscheidet sich jedoch kaum, die Menschen sind EU-weit etwa gleich gebaut.»
— Astrid Epiney, Professorin für Europarecht und Rektorin, zur Zulassungsregel und Personenfreizügigkeit, Zürcher Oberländer, 9.12.2015
«En Suisse, on a tous les cent à cent cinquante ans un tremblement de terre de magnitude 6 et tous les mille ans même un de magnitude 7. Donc ce n’est jamais improbable. »
— Jon Mosar, professeur en tectonique, CQFD, RTS La Première, 7.12.2015
«Ich denke, es wäre an der Zeit, dass die Sozialisten und Bürgerlichen endlich begreifen, dass Politik nicht ein Spiel ist und dass man mit Rechtsextremismus nicht spielen kann.»
— Prof. Gilbert Casasus, Direktor des Zentrums für Europastudien, zum Sieg der Front National, SRF, 7.12.2015
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