Au mépris du serment d’Hippocrate, de nombreux médecins sous le Troisième Reich se sont livrés à des expériences sur des personnes détenues. Des horreurs que les recherches de Paul Julian Weindling permettent d’éclairer d’un jour nouveau. Ce professeur d’histoire de la médecine est le premier à avoir inclus la perspective de la victime dans son analyse historique. Pour récompenser ses travaux, la Faculté des sciences et de médecine de l’Université de Fribourg lui a décerné le titre de docteur honoris causa.
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