Du 1er au 24 décembre un membre de la communauté universitaire vous offre ses mots, un texte, un conte, un poème, une pensée qui l’a touché, ému, fait rire ou réfléchir. Ouvrez la porte, aujourd’hui c’est Valentin Kolly qui frappe.
Je vous propose un poème de Georges Brassens intitulé «Illusions» et paru en 1942 dans son recueil À la venvole. C’est un poème que j’aime beaucoup, qui n’a pas vieilli et ne vieillira probablement jamais. Il est porteur d’un double espoir qui me semble essentiel, aujourd’hui plus que jamais: un espoir vis-à-vis de la jeunesse et vis-à-vis des livres, de la fiction littéraire.
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